> Le mariage est l’achat du ventre d’une femme par le mari pour obtenir des héritiers mâles légitimes. L’épouse ainsi que ses enfants, est donc la propriété exclusive de l’époux. Seul le mari a donc le droit de libérer son esclave. L’adultère de la femme est une remise en cause de la paternité de son mari sur ses enfants. C’est donc un crime gravissime, bien souvent puni de mort. En Israël, la religion n’est pas encore séparée de l’Etat. De ce fait, le mariage et le divorce sont encore soumis à des règles patriarcales obsolètes, celles qu’impose la loi juive orthodoxe. > > L’épouse, propriété enchaînée à son époux
D’après la Loi juive (« halakha »), l’homme doit accorder de son plein gré le divorce religieux (« guet ») à sa femme pour que ces dernières soient considérées comme divorcées. Sans cet octroi, la femme acquière le statut d’« agouna » (littéralement enchaînée à son statut de femmes mariée) et se voit alors dans l’impossibilité de se remarier, pour une période qui peut-être indéterminée, attente qui peut durer des mois, des années voire une vie entière.
Unissons nous pour obtenir l'égalité de la femme dans la décision du divorce. Le mari violent doit être condamné en Israel Israel doit demander son extradition s'il est à l'étranger pour l'obliger à donner son Guett.
1 Commentaire
Le guett rejoint la mentalité musulmane, c’est grave !
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